mardi 10 novembre 2015
Premières S2 et Terminale L : les sorties et les rencontres au programme cette année.
Voici le nouveau calendrier Calendrier des activités proposées aux Premières S2 et aux Terminales pour cette année scolaire 2015-2016.
Au cinéma le Royal à Saint-Max, trois projections dans le cadre de Lycéens au cinéma (5 classe de seconde, 5 classes de Première et une classe de terminale participent à l’opération cette année).
Jeudi 26 novembre : Soyez sympas, rembobinez ... de Michel Gondry.
Jeudi 28 janvier : M le Maudit de Fritz Lang.
Jeudi 31 mars 2016 : L’exercice de l’état de Pierre Schoeller.
Au théâtre de la Manufacture, 10 rue du Baron Louis à Nancy, deux spectacles :
Mardi 12 janvier À 20h30 : J’habitais une maison sans grâce, j’aimais le boudin, de Jean-Marie Piemme. (Durée, 1h10).
Jeudi 26 mai à 20h30 : Trois ruptures, de Rémi de Vos, et d’Othello Vigard. (Durée 1h05).
Liens vers les éléments des spectacles :
https://www.dropbox.com/sh/tjs50lausuwokg9/AACkqof9fHuD6CHIJV1-U5Iha?dl=0
https://www.dropbox.com/sh/w9jqea2fw0yer89/AACBuXcD8aN0bkxCo1FAKW3Aa?dl=0
En partenariat avec La Taverne du Livre à Nancy, rue des Quatre Églises :
Mercredi 16 décembre, 8h45-10h : rencontre à la librairie : qu’est-ce qu’une librairie indépendante ?
En préparation : rencontre auteur / public à la Taverne du Livre au mois de mars 2016.
En préparation : rencontre avec un artiste figurant dans la sélection des Chroniques Lycéennes (Canopé La Rochelle et Académie Charles Cros).
mercredi 28 octobre 2015
Chroniques Lycéennes 2015-2016
Cette année les élèves de Première S2 et de Terminale L participeront au concours d'écriture de chroniques musicales organisé par :
CANOPÉ LA ROCHELLE ET L'ACADÉMIE CHARLES CROS.
Le magazine TELERAMA en est
le partenaire média.
Voici la liste des artistes sélectionnés pour la nouvelle édition. La date limite de dépôt de vos chroniques est fixée au 7 avril 2016.
Bonnes écoutes et à vos plumes !
CANOPÉ LA ROCHELLE ET L'ACADÉMIE CHARLES CROS.
Le magazine TELERAMA en est
le partenaire média.
Voici la liste des artistes sélectionnés pour la nouvelle édition. La date limite de dépôt de vos chroniques est fixée au 7 avril 2016.
Bonnes écoutes et à vos plumes !
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Bastien Lallemant – Un million d’années - (extrait de l’album La maison haute)
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Ben Mazué – L’onde - (extrait de l’album 33 ans)
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Jérémie Bossone - Rien à dire - (extrait de l’album Gloires)
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Les Ogres de Barback - Dos miné - (extrait de l’album Vous m’emmerdez)
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Vianney - Aux débutants de l’amour - (extrait de l’album Idées blanches)
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Zaza Fournier - Garçon - (extrait de l’album Le départ)
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Radios Elvis - Demande à la poussière - (extrait de l’album Juste avant la ruée)
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Salomé Leclerc (Québec) - Arlon - (extrait de l’album 27 fois l’aurore)
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Stéphane Blok (Suisse) - KM 550 - (extrait de l’album Complainte de la pluie qui passe)
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Maya Kamaty (La Réunion) - Ansanm - (extrait de l’album Santié Papang)
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Flavien Berger - Gravité - (extrait de l’album Leviathan)
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Baptiste W. Hamon - Les bords de l’Yonne - (extrait de l’album Quitter l’enfance)
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Babx – Arthur Rimbaud 2 - (extrait de l’album Cristal automatique #1)
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Karimouche - Action - (extrait de l’album Action)
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Luciole - Une - (extrait de l’album Une)
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Zoufri Maracas - Chienne de vie - (extrait de l’album Chienne de vie)
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Bertrand Belin – Folle, folle, folle - (extrait de l’album Cap Waller)
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La canaille – Redéfinition - (extrait de l’album La nausée)
lundi 25 mai 2015
DIMONÉ et NEVCHÉ à la rencontre des élèves de Première L et de Première ES2 : copains d'abord !
L'affaire
était entendue dès le mois de décembre; Frédéric NEVCHÉHIRLIAN
et Dominique TERRIEU viendraient rendre visite aux élèves de la
classe de Première ES et de la classe de Première L, dans le cadre
des CHRONIQUES LYCÉENNES 2014 / 2015.
Sans détours, ils ont dit oui à notre invitation puis ils
sont venus pour clore cette année consacrée une fois tous les 15
jours à l'écriture de chroniques, musicales !12H45 : gare TGV Lorraine, voie 3, les voilà sur le quai, ils sont arrivés tous les deux par le même train, la rencontre croisée avait déjà commencé entre Marne la Vallée et Nancy.
DIMONÉ est venu de Montpellier, NEVCHÉ de Marseille.
Dans leur dos, une guitare, dans leurs mots cet accent qui tient du Sud, celui de Nino Ferrer, de Léo Ferré et de Boby Lapointe, voix ferrées !
On se salue puis direction le Lycée.
Sur la route on évoque le travail des élèves sur les textes des deux derniers albums Venise, Soignons nos rêves, Un homme libre (Dimoné, Bien Hommé mal Femmé), Marseille, Sur le parking, Vas-tu freiner ? (Nevché, Rétroviseur).
Les deux complices partagent leurs derniers souvenirs de tournées, échangent sur l'actualité, en hommes libres. Les propos sont précis et très informés, Nevché et Dimoné sont à l'écoute du monde.
13H30 : on déjeune au lycée, dans la conversation on sent l'effervescence, l'avidité d'en savoir toujours plus pour se connaître, pour rendre la rencontre simple et naturelle.
14H30 : salle A101, on s'installe devant les élèves.
Une élève de Première Littéraire présente la manière dont la classe a préparé la rencontre (étude des pochettes des albums, visionnage des clips, écoute des chansons, lecture et construction des textes, parcours de nos invités, les structures qu'ils ont crées (coopérative INTERNEXTERNE pour Nevché et label ESTAMPE pour Dimoné (on n'oublie pas qu'une démarche artistique a besoin d'une structure pour se faire connaître du public).
Les questions sont prêtes, l'entretien peut commencer, il portera en grande partie sur la démarche d'écriture de nos invités.
Écriture parfois instinctive, d'un bloc pour Nevché quand il chante a cappella (Dans le stade qui n'était pas destiné à être une chanson et qui figure sur son premier album). En revanche, l'écriture est plus difficile pour les textes resserrés : il rappelle qu'il faut une « tension forte » entre le texte et la musique, il ajoutera qu'il « écrit pour se dépasser ».
Quelques perles nées de cette tension et de ce dépassement ;
"Aux premières lueurs languides
aux premiers signaux du temps
aux semis qui décident et choquent
de la longueur des épis du printemps
et des jupes candides qui nous ennuient
qu'ont-ils à rire comme des fous
tous ces soleils saouls au bord de mer ?"
Soleils saouls, Nevché, Rétroviseur.
Dimoné, de son côté passe du temps à se « libérer des contraintes », à les détourner, il dira que « le jeu de l'écriture est là », qu' « écrire c'est comme questionner un totem ». Dominique a le sens de la formule et propose là un beau sujet de dissertation.
"Les puits sur les places sont des bondes qui trônent
des baignoires vidées envisagées
pour des purges périodiques laissant le pavé décapé par l'eau saumâtre
passagers de la lagune qui toussent sous les clochers en répit
annonçant en rafales brouillonnes aux attardés
le rendez-vous pour leur salut c'est nous ? C'est nous !
Venise, Dimoné, Bien hommé mal Femmé.
D'ailleurs, l'Afrique n'est pas loin, elle « pousse un peu de sa corne ! », Dimoné et Nevché évoqueront leur séjour en Mauritanie, au Sénégal et au Congo. C'est là que leur musique a pris une autre dimension, au-delà de la chanson française « guindée ».
La composition, l'inspiration et notamment l'attachement de nos invités à leur ville : Marseille (ville femme) Montpellier (qui se défend d' être Manhattan) prendront leur place dans une discussion au cours de laquelle chacun a pu trouver sa place, elle se prolongera jusqu'à 17H, et sera ponctuée de la lecture de quelques textes de nos invités par les élèves (Venise, Marseille, Soleils saouls).
16H45 : embarquement immédiat :
fraternellement, Nevché confie sa guitare à son complice Dimoné pour une interprétation de Venise, puis ce sera à son tour d'interpréter Marseille et un couplet ...
qui ne figure pas sur le livret de son dernier album.
On se quitte mais pas tristement,
plutôt dans un grand éclat de rire.
Ce mardi 19 mai, "le soleil a brillé … pour tout le monde" et les "fondamentaux ..." aussi !
"On éteint ... " Non ! On se souvient !
Mai 2015,
texte : M. André,
photos : M. Caillavet.
texte : M. André,
photos : M. Caillavet.
dimanche 24 mai 2015
Emmanuel Darley, metteur en scène s'entretient avec les élèves de Première ES2 et de Première L.
Emmanuel Darley. |
Le mercredi 20 mai, au théâtre de la Manufacture, les élèves de Première ES2 et de Première L ont assisté à la représentation de la pièce écrite et mise en scène par Emmanuel Darley, Elvis Polyptique au cours de laquelle le spectateur revisite le parcours d'Elvis Presley.
La création pose entre autres la
question de l'identité d'un personnage idolâtré et hanté par
l'absence d'un frère.
La mise en scène est conçue comme un
ensemble de panneaux articulés qui retracent le parcours de cette
figure incontournable du blues et du rock.
Le lendemain du spectacle, Emmanuel
Darley est venu à la rencontre des élèves, à la Malgrange. Il
a répondu à leurs questions essentiellement liées à ses
intentions de mise en scène et à son travail de dramaturge.
L'entretien a également porté sur le
parcours de notre invité, ce passionné de musique rock et de cinéma
est aussi romancier.
Concentré sur l'écoute des questions,
précis et efficace dans ses réponses, Emanuel Darley a
généreusement complété le travail engagé en classe sur un objet
d'étude préparant à l'épreuve de français du
Baccalauréat intitulé Théâtre et représentation.
dimanche 10 mai 2015
Sophie Avon avec les élèves de Première ES2 et de Première L autour de son roman : Dire adieu.
Sophie Avon. |
Cette fois-ci, elle s'est entretenue non pas de cinéma (voir le blog.cinéma du lycée) comme en 2013 mais de son travail d'auteure.
Des questions précises. |
Des réponses enthousiastes. |
Après qu'ils aient lu et analysé son dernier roman, Dire adieu, l'entretien a permis aux élèves de poser des questions sur les intentions de sa démarche, sur les conditions de la création d'un récit, sur la manière dont un écrivain construit une héroine de roman à partir d'un personnage réel. Dire adieu est en effet l'hommage d'une fille à sa mère, celle de Sophie Avon.
L'entretien s'est prolongé dans la soirée à la librairie La Taverne du Livre à Nancy avec le public.
A cette occasion, les élèves avaient rédigé des courtes chroniques qu'ils ont présentées à leur invité, en voici quelques-unes.
Dire adieu, Mercure de France, 2014.
Écrire pour dire Adieu
La mort, c’est la
certitude que l’on ne se reverra plus. Pourtant, Sophie Avon a du
mal à faire son deuil, à accepter de départ de sa mère. Une femme
malade et malheureuse en proie à une envahissante dépression. Un
intrigant paradoxe avec la personnalité de la mère. Vivante,
soignée et constamment en mouvement, son esprit vit pourtant en
marge d’une société en laquelle elle ne croit plus. Sophie qui,
enfant, écoutait sa mère pleurer avec compassion, a fini par perdre
patience. Adulte, elle a compris que sa mère ne serait plus jamais
heureuse. Ses appels dont devenus mécaniques, ses visites
irrégulières. Et puis quelques fois, la mère et la fille se
retrouvent, partagent, rient, comme des soeurs. Dans son roman
intitulé Dire
Adieu,
Sophie
Avon évoque sa mère vraie et sans artifice. Elle en fait sa propre
héroïne romanesque.
Puis
arrive la maladie, les rôles s’inversent. Sophie prend soin de sa
mère comme d’un bijou fragile. Elle prend conscience de son
importance, de son besoin d’être à ses côtés, du temps perdu.
Une mort attendue et libératrice pour la mère, qui bouleverse la
fille.
C’est
ainsi que Sophie prend sa plume et rédige un dernier Adieu. Faisant
la démonstration d’un amour inépuisable, elle rend un dernier
hommage à celle à qui elle en a tant voulu, mais aussi à celle à
qui elle doit tout. Un récit tout en sincérité.
Alice.
Dire
adieu pour dire bonjour
Dire adieu
pour dire bonjour c’est comme dire que je te hais pour te prouver
que tu es la seule que j’ai autant aimée. C’est cette relation
paradoxale, les rôles qui s’échangent, l’amour qu’on porte à
une mère, et la confusion des émotions que Sophie Avon nous décrit.
Elle couche des fragments de vie, des ébauches de sentiments sur le
papier. Elle transpose les souvenirs qui lui restent.
Je comprends « Dire
adieu » comme l’acceptation d’une rupture. C’est la force
des mots. C’est cette manière de sortir ses peines, ses rires, ses
déceptions et ses incompréhensions sans jamais plonger dans le
pathos.
On se construit à
travers sa mère et son absence détruit. Mais comme l’a dit Marcel
Proust : « Quand d’un passé ancien rien ne subsiste,
après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules,
plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus
persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore
longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer,
sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur
gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du
souvenir. »
.
Dire Adieu
est un hommage bouleversant. Il est l’expression d’une souffrance
bien déguisée, sous des phrases à l’allure légère.
Prudence.
mardi 6 janvier 2015
Un mercredi matin à la TAVERNE DU LIVRE, à Nancy.
Le
mercredi 17 décembre dernier, les élèves de Première L et de
Première ES2 ont rencontré Marie Nardin, libraire, professeur et
gérante du café librairie La Taverne du livre à Nancy.
La visite avait été préparée dans le cadre d'un cours de français consacré aux métiers et à la place du livre dans l'économie de la Région Lorraine.
Mais celle qui nous accueille n'est pas sectaire, on trouve à la Taverne ce qui fait
l'actualité du livre et des auteurs y viennent en amis, parler de
leur métier … leur passion.
A l'issue de l'échange, les élèves sont invités à prendre le temps d'aller à la rencontre des livres dans l'espace qui leur est consacré et qu'ils ont investi, on l'espère, gourmands de lectures.
Voici le témoignage d'Antoine, élève de Première ES2.
Un échange dense |
La visite avait été préparée dans le cadre d'un cours de français consacré aux métiers et à la place du livre dans l'économie de la Région Lorraine.
C'est tôt le matin, avant
l'ouverture des portes de la Taverne que chacun a pu poser ses
questions.
L'échange, concentré et dense a porté, entre autres sur le fonctionnement, le
statut et le caractère propre d'une librairie indépendante, sur les
choix de lecture faits par la libraire, sur les moyens de proposer
aux lecteurs une autre manière de lire, c'est à dire en dehors des
circuits des grands distributeurs.
et concentré. |
C'est
le terme qui semble convenir le mieux aux réponses de Madame Nardin.
Quand
un élève lui demande les raisons de son choix pour le quartier (Rue
des Quatre Églises), elle répond qu'il s'est agi d'un coup de cœur
lié au public varié qu'elle y a rencontré. Le livre devient alors
une manière de créer des liens entre les personnes. Au point que
les rencontres entre les lecteurs aboutissent parfois à des échanges
de lectures, certains s'avèrent des critiques avertis.
On investit l'espace livre. |
A l'issue de l'échange, les élèves sont invités à prendre le temps d'aller à la rencontre des livres dans l'espace qui leur est consacré et qu'ils ont investi, on l'espère, gourmands de lectures.
Voici le témoignage d'Antoine, élève de Première ES2.
Le mercredi 17 décembre
2014, les élèves de Premières ES et L sont allés découvrir le
monde du livre, plus particulièrement, la découverte d'une
librairie indépendante.
C'est durant un échange avec la gérante de
cette librairie originale, que les élèves ont pu en connaître un
peu plus sur le métier de libraire et sur ce que c'est qu'une librairie indépendante.
La libraire nous a donné l'impression de quelqu'un de
passionné par son métier mais également toujours à l'écoute de
ses clients.
Cependant, l'existence
de ces librairies indépendantes est remise en cause aujourd'hui avec
la place qu'occupe le web ; c'est pourquoi il est important de
promouvoir des petits commerces comme celui-ci surtout que l'on peut
compter sur un accueil et des conseils beaucoup plus amicaux que
derrière un écran d'ordinateur...
Voici celui de Maud, élève de Première L.
Faites comme nous, et prenez le temps d'aller y faire un tour pour discuter avec la libraire. Croyez-moi, vous ne serez pas déçus ! Non seulement nous avons pu découvrir ce qu'était une librairie indépendante, mais aussi nous avons découvert un lieu de détente où il fait bon lire et bon se divertir. Pour ouvrir ce genre de librairie, il faut être passionné, déterminé et surtout ne jamais être à court d'idées.
Voici celui de Maud, élève de Première L.
Vous
ignorez ce qu'est une librairie indépendante ? Vous n'avez jamais
mis les pieds à La Taverne du Livre à Nancy ?
Faites comme nous, et prenez le temps d'aller y faire un tour pour discuter avec la libraire. Croyez-moi, vous ne serez pas déçus ! Non seulement nous avons pu découvrir ce qu'était une librairie indépendante, mais aussi nous avons découvert un lieu de détente où il fait bon lire et bon se divertir. Pour ouvrir ce genre de librairie, il faut être passionné, déterminé et surtout ne jamais être à court d'idées.
A
La Taverne du Livre vous trouverez toujours quelqu'un pour vous
orienter dans vos choix de lectures, de quoi vous installer, et même
de quoi vous restaurer. Le concept est innovant, tout comme les
soirées jeux de sociétés en anglais ou les speedbookings.
J'y
suis souvent retournée depuis notre visite, j'y achète beaucoup de
livres que la libraire m'a vivement conseillés. J'aime également
aller y boire un thé en lisant mon nouveau livre. C'est un endroit
dans lequel je me sens bien.
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